Née en 1992, vit et travaille à Toulouse.
Découvrez l'artiste : https://www.alison-flora.com/
En 2017, elle est diplômée (DNSEP) de l’École supérieure d’art des Pyrénées.
Elle a depuis participé à plusieurs expositions collectives et récemment La Cérémonie, une exposition en duo, avec Floryan Varennes (Maisons des arts Georges et Claude Pompidou, Cajarc, 2022).
En 2021, elle présente sa première exposition personnelle à la galerie Sultana Arles : Relaunch The Dream Weapon, sur une invitation de Goswell Road qui publie à cette occasion sa première monographie, un choix de dessin issus de ses carnets de croquis. Au titre de ces influences, Alison Flora cite des références très variées : le peintre symboliste franco-polonais, Boleslas Biegas, l’artiste et poète français absurde de l’humour noir, Roland Topor, ou encore la musicienne britannique Genesis P-Orridge, précurseure de la musique industrielle. Elle cite pêle-mêle - révèlent ainsi son goût pour les cultures populaires, la littérature fantastique de JRR Tolkien, les jeux-vidéos et la musique black metal. Depuis trois ans, l’artiste a démarré une nouvelle page dans sa pratique avec une série en cours d’œuvres peintes avec son propre sang, récolté selon un protocole précisément contrôlé. Les obsessions intimes de l’artiste s’y expriment à travers des images surréalistes qui revisitent des motifs partagés par la conscience collective, issus de représentations médiévales, de symboles ésotériques et d’éléments de la culture populaire. Il en résulte un univers ou mysticisme, médiévalisme, fantaisie et folie se mélangent.